Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dessert

  • "Mardi Gras, ne t'en va pas, y'a des bugnes, y'a des bugnes..."

    Imprimer Catégories : Desserts

    ... Mardi Gras, ne t'en va pas, y'a des bugnes, t'en auras pas.

    Comptine

    Bien sûr il faut accepter de sentir l'odeur de la friture pendant quelques heures dans la maison...

    Bien sûr il faut accepter de voir farine et sucre glace flotter dans la cuisine...

    Mais ensuite... quel bonheur de les déguster :

    Bugnes 2012.jpg

    La recette est toujours .

    Tweet 0 commentaire Pin it! Lien permanent
  • Fraîcheur de fraises

    Imprimer Catégories : Desserts

    L'idée était simple : faire un gâteau léger, rapide, facile, qui exalte le parfum des fraises nouvelles. Et le dernier numéro d'Avantages est arrivé à pic avec son idée de "tartare de fraises". J'ai un peu modifié les ingrédients, trafiqué les proportions histoire d'en faire un dessert pour dix et l'entremets qui en jette était né ! Voici donc la :

    FRAICHEUR DE FRAISES

    Pour 10 personnes, il faut :

    • un kilo de fraises
    • une barquette de 500 g de Danette® vanille
    • 10 cl de sirop d'agave
    • 8 feuilles de gélatine
    • 160 g de chocolat blanc

    Faire tremper les feuilles de gélatine dans l'eau froide.

    Laver, équeuter et couper en petits dés les fraises. Les répartir dans deux bols.

    Faire chauffer dans une casserole la moitié du sirop d'agave et 5 cl d'eau. Y dissoudre deux feuilles de gélatine et verser sur un des bols de fraises. Bien mélanger et recouvrir le fond d'un moule à manqué tapissé de film fraîcheur. Laisser prendre dix minutes au réfrigérateur.

    Faire fondre le chocolat avec deux cuillères à soupe de Danette® et dissoudre quatre feuilles de gélatine. Ajouter le reste de la Danette® et en recouvrir délicatement la couche de fraises. Laisser prendre une demi-heure au réfrigérateur.

    Faire chauffer le reste de sirop avec 5 cl d'eau, dissoudre les deux dernières feuilles de gélatine et verser sur le reste de fraises. Les déposer délicatement sur la couche de chocolat blanc-Danette®.

    Laisser reposer deux heures minimum au frais et démouler avant de servir.

    Fraîcheur de fraises.jpg

    Remarques :

    • Le sirop d’agave provient de grandes plantes ressemblant aux yuccas dont la sève sert aussi à fabriquer la tequila. Pour l’obtenir il faut d’abord couper les feuilles de l’agave lorsque la plante atteint entre 7-10 ans. Ensuite, les producteurs récoltent le cœur, appelé la pina, qui ressemble à un ananas géant. De là, ils extraient le jus, le filtrent et le chauffent à basse température pour transformer les glucides en sucres. (source guérir.org). On le trouve en magasin bio ; la neutralité de son goût permet de mettre en valeur le parfum des fraises.
    • Ce dessert peut se servir individuellemment si vous le montez dans des cercles de cuisine.
    Tweet 3 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Charlotte poires-chocolat

    Imprimer Catégories : Desserts

    Les beaux jours reviennent et, avec eux, leur cohorte d'envie de fraîcheur. Oui mais... au fond de mon panier de fruits, ce sont encore les fruits d'hiver qui trônent : pommes et poires. Alors que faire, quand on a des envies de légèreté, qu'on sature un peu de tarte poire-amande, de tarte aux pommes et du moelleux itou ? Une charlotte ! De surcroît, elle pourra se reproduire d'autres fruits.
    Oui mais... il faut qu'elle soit gourmande, cette charlotte : ce sera donc une charlotte poire ET chocolat. Voici donc la :

    CHARLOTTE POIRES-CHOCOLAT

    Pour 10 personnes, il faut :

    • 5 poires
    • 75 cl d'eau
    • 150 g de sucre blond
    • une cuillère à soupe de vanille liquide
    • une cuillère à soupe d'alcool de poire
    • 4 oeufs
    • 200 g de chocolat noir
    • 3 feuilles de gélatine
    • 15 cl de crème
    • une quarantaine de biscuits à la cuillère
    • une pincée de sel

    Préparer d'abord le sirop en mélangeant l'eau, la vanille, le sucre et l'eau de vie. Porter à ébulltion.

    Éplucher les poires et les couper en deux, avant d'en retirer le trognon.

    A l'ébullition du sirop, pocher les poires et laisser cuire doucement pendant dix minutes. Egoutter et laisser refroidir poires et sirop.

    Faire fondre le chocolat avec un peu d'eau (deux minutes au micro-onde). Remuer pour obtenir une consistance lisse et laisser tiédir avant d'ajouter les jaunes.

    Faire tremper les feuilles de gélatine cinq minutes et les faire fondre dans la crème chauffée mais non bouillie. Incorporer au mélange chocolat-jaunes d'oeuf.

    Monter les blancs d'oeufs en neige avec la pincée de sel et les intégrer doucement à l'appareil chocolaté.

    Chemiser éventuellement votre moule de film transparent avant de monter la charlotte.

    Tremper les biscuits dans le sirop puis les disposer autour et au fond du plat. Verser la moitié de la crème puis déposer les poires coupées en lamelles (en garder un peu pour la décoration). Recouvrir du reste de crème et finir avec les biscuits trempés.

    Laisser reposer trois heures minimum, l'idéal étant une nuit. Démouler et décorer avec quelques lamelles de poires.

    cuisine,gourmande,dessert,chocolat,poire,charlotte,gélatine

    Remarques :

    • Manquant de biscuits, j'ai fait le dessus avec des biscuits de Reims, d'où la couleur...
    • Cette charlotte peut se faire la veille et attendre gentiment au réfrigérateur - très pratique lorsqu'on reçoit !
    Tweet 5 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Gâteau basque

    Imprimer Catégories : Desserts

    Je ne suis jamais allée au pays basque. Mais ma belle-famille si, et c‘est chez eux que j’ai goûté mon premier gâteau basque. J’avoue avoir été assez séduite par ce mélange de crémeux et de légèrement croustillant et c’est ainsi que j’ai essayé d’en réaliser un.

    Première chose à savoir en ce qui concerne le gâteau basque : ce n’est pas facile ! Même si la recette vous apparaîtra bête à pleurer, et elle l’est, le résultat, c’est une pâte très difficile à manipuler. Donc à chemiser sans la déchirer. Donc à étaler finement. Tout cela, évidemment, pour anticiper les remarques à la vue de la photo : « mais… la pâte n’est pas un peu épaisse ? » Si, elle l’est !

    Deuxième chose : j’ai pris les proportions dans le magazine AVANTAGES de ce mois-ci et ma conclusion est la suivante : si la pâte est en quantité suffisante, la crème pâtissière aurait mérité d’être doublée. Donc acte pour la prochaine fois. Cela dit, voici donc le :

    GÂTEAU BASQUE

    Pour 6, il faut :

    • 200 g de farine
    • 125 g de beurre mou demi-sel
    • 160 g de sucre
    • un œuf et 5 jaunes d’œuf
    • 50 g de poudre d’amande
    • 25 g de fécule de maïs
    • un demi-sachet de levure
    • 25 cl de lait
    • une gousse de vanille
    • une cuillère à soupe de rhum

    Préparer la pâte en mélangeant dans un saladier le beurre et 100 g de sucre. Ajouter ensuite l’œuf entier et un jaune, puis la farine et la levure,  et la poudre d’amande. Lorsque la pâte forme une boule, l’envelopper dans un film plastique et la laisser au moins deux heures au frais.

    Préparer la crème en grattant les graines de la gousse de vanille pour les mettre dans le lait ; faire bouillir le tout.

    Battre trois jaunes d’œuf avec 60 g de sucre et la fécule. Verser le lait chaud sans cesser de fouetter puis remettre à cuire à feu doux jusqu’à ce que ça épaississe.

    Ajouter le rhum puis mélanger encore avant de laisser refroidir.

    Préchauffer le four à 190°. Sur un plan fariné, étaler les deux tiers de la pâte et chemiser un moule à tarte dont vous aurez recouvert le fond de papier sulfurisé.

    Verser la crème, puis étaler le reste de pâte pour former un couvercle que vous poserez sur la tarte. Souder les deux pâtes en les pinçant.

    Strier – délicatement – le dessus du gâteau puis le badigeonner avec le dernier jaune d’œuf.

    Enfourner, baisser le thermostat à 170° et laisser cuire trois-quarts d’heure.

    cuisine,dessert,gâteau,basque

    Remarques :

    • Attention lorsque vous striez le gâteau, la pâte est très friable.
    • Remarque découlant de la précédente : elle est très délicate à étaler...
    Tweet 5 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Cake au citron - hommage à Agatha Christie

    Imprimer Catégories : Desserts

    Il fut un temps, pas si lointain quand on y songe, où la littérature de jeunesse n'existait pas. J'entends par là qu'elle ne représentait pas ce qu'elle offre aujourd'hui, cette diversité, cette richesse, qui font que chacun, adulte comme enfant, peut prendre plaisir à partager ses lectures.

    Je ne renie pas - loin de là - mes classiques enfantins et sais ce que je dois à Fantômette, au Club des cinq et autre Alice, mais ce que je veux signifier, c'est que la littérature du passage, celle qui doucement vous fait aller de l'enfance à l'âge adulte, n'existait pas. Soit on lisait des "livres pour enfants", soit on passait à "La Littérature", avec plein de majuscules.

    Et c'était à la fois excitant et angoissant. Excitant car on attendait avec impatience le moment où l'on se saisirait d'un roman "de grand" et qu'on le dévorerait. Angoissant parce que ce n'était pas toujours facile, justement, à lire, ces romans de grands et que, tout heureux que l'on fût d'être passé dans la bibliothèque adulte, on y retrouvait pas toujours la jubilation éprouvée à lire des livres d'enfant...

    Sauf que... il y avait Agatha CHRISTIE. Je me souviens encore du premier livre de cet auteur que j'ai découvert. Sur une erreur de chiffre en fait. On m'avait conseillé les Dix Petits Nègres et ma mère est rentrée avec les Cinq Petits Cochons ! Ainsi ai-je fait la connaissance d'Hercule Poirot à travers une de ses aventures les moins représentatives puisqu'essentiellement déroulée en flash back. Qu'importe, le virus était contracté : je suis devenue addict d'Agatha CHRISTIE ! D'elle, j'ai tout lu : les romans plusieurs fois chacun, les nouvelles un peu moins souvent, l'autobiographie qui révélait quelqu'un de très drôle, bref, tout et dans tous les sens. Je lui dois même d'avoir appris l'anglais à travers ses romans : un chapitre en anglais, un chapitre en français, et toujours ou presque la même interrogation : mais il en manque, non ? Comme je fus rassurée de savoir quelques années plus tard que les traductions des années 30, 40 et 50 avaient souvent été massacrées...

    C'est pourquoi le livre d'Anne MARTINETTI et François RIVIERE m'a immédiatement séduite : replonger dans l'univers d'Agatha CHRISTIE à travers le vecteur de la gourmandise, quelle bonne idée ! Je n'avais pas oublié les rognons que dévorait Nigel dans L'Heure zéro et qui m'avaient grandement interpellée à quatorze ans (et qui sont absents du livre, d'ailleurs)... Ou les interrogations d'Elinor préparant le goûter dans Je ne suis pas coupable. Sans compter les délicieux tea times de Miss Marple.

    C'est d'ailleurs à elle que j'ai songé en préparant un des recettes du livre. Une recette de goûter, à la fois classique et originale. Voici donc le :

    CAKE AU CITRON

    Pour 8, il faut :

    • 200 g de farine
    • 150 g de beurre demi-sel
    • 100 g de sucre
    • 4 oeufs
    • 2 citrons non traités
    •  un sachet de levure

    Préchauffer votre four à 180°.

    Faire fondre le beurre dans le moule à cake.

    Battre ensemble les oeufs et le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse.

    Ajouter petit à petit la farine et la levure.

    Mélanger le tout et verser le beurre fondu.

    Laver les citrons et les presser. Puis récupérer la peau à couper en fins bâtonnets.

    Ébouillanter les bâtonnets pendant une minute.

    Ajouter à la pâte le jus des citrons et les bâtonnets blanchis et bien mélanger.

    Verser dans le moule et cuire quarante-cinq minutes.

    Démouler encore chaud et laisser refroidir.

    cuisine, dessert, cake, citron, agatha christie

    Remarques :

    • Il se conserve facilement trois jours, bien enveloppe de film fraîcheur.
    • Vous pouvez l'accompagner de marmelade de citron...

    Tweet 5 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Bûche pistache-thé vert

    Imprimer Catégories : Desserts

    Les lendemains de fête sont redoutables... C'est là qu'on se dit : "Zut, j'ai oublié de prendre en photo ma bûche !" Parce qu'évidemment, ce n'est pas hier, au moment du dessert qu'on sort l'appareil. Tout ça pour justifier de ma photo plutôt moche : c'est la bûche de la veille !

    Il n'empêche, elle était très bonne, plutôt inédite, et suffisamment légère pour finir un repas roboratif. Voici donc la :

    BÛCHE PISTACHE-THE VERT

    Pour 8-10, il faut :

    • 140g de farine
    • 200g de sucre
    • 40g de pâte de pistache
    • 6 oeufs
    • 100g de crème fraîche
    • 200g de chocolat blanc
    • 2 cuillères à café de thé matcha

    Préparer le biscuit roulé en préchauffant le four à 200°. Dans un saladier, battre les jeunes d'oeufs et le sucre. Incorporer la pâte de pistache.

    Battre les blancs en neige.

    Intégrer au mélange jaunes + sucre + pistache 70g de farine et la moitié des blancs en neige.

    Lorsque le tout est bien amalgamé, verser le reste de farine et de blancs d'oeuf.

    Recouvrir une plaque de cuisson d'une feuille de papier sulfurisé et verser la préparation en lissant bien pour qu'elle soit régulièrement répartie.

    Cuire pendant dix minutes à 180° (th 6).

    A la sortie du four, laisser tiédir avant de rouler le biscuit dans un torchon (en gardant la feuille de papier sulfurisé) et laisser refroidir.

    Préparer la ganache en faisant chauffer la crème. Y dissoudre la poudre de thé vert et faire fondre le chocolat. Laisser refroidir.

    Garnir le biscuit de la ganache froide et utiliser le reste en décoration. Servir à température ambiante.

    Bûche pistache thé vert.jpg

    Remarques :

    • Mais non, ce n'est pas une bûche aux épinards !
    Tweet 3 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Ma Cuisine rouge en vidéo avec ses petites crèmes au chocolat !

    Imprimer Catégories : Desserts

    Parce que son fils est parti étudier loin de la maison et qu'il cherche comment se débrouiller pour cuisiner en cité U, avec peu d'ustensiles et deux plaques électriques, le papa a eu l'idée de créer une "chaîne" sur Youtube pour lui expliquer les basiques : vive la U- gastronomie !

    Conviée à participer l'aventure, j'ai proposé mon classique familiale, la valeur sûre, inratable et incontournable : mes petites crèmes au chocolat. Attention : j'ai dit "crème", et non flan, j'y tiens. Essayez, goûtez et vous verrez !

    PS : Les quantités ont été "adaptées" à l'ergonomie d'une cuisine étudiante...

    Tweet 10 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Régime Dukan, le détournement : tarte aux prunes

    Imprimer Catégories : Desserts

    Pour quoi ce titre ? Parce que d'une certaine manière, cette tarte est un hommage au nouveau régime tendance, le régime Dukan. Son secret (en autres) : l'avoine ! Et bien il y en a dans cette tarte !

    Bon, c'est bien la seule chose qui soit de régime, accessoirement, surtout si vous êtes dans une période non-fuit, mais pour les autres, tous les autres, ce n'est que du bonheur ! La simplicité même que cette tarte, qui laisse complètement s'exprimer le fruit bien mûr. Voici donc la :

    TARTE AUX PRUNES

    Pour 6, il faut :

    • 150 g de farine
    • un oeuf
    • 70 g de flocons d'avoine
    • 50 g d'amandes réduites en poudre
    • 50 g de sucre roux
    • 120 g de beurre
    • 500 g de prunes

    Préparer la pâte en émiettant le beurre coupé en morceaux dans la farine, les flocons d'avoine, 20 g de poudre d'amande, 20 g de sucre, à la façon d'une pâte brisée. Ajouter éventuellement un peu d'eau pour former la boule et envelopper dans un film fraîcheur afin de la laisser reposer une heure au réfrigérateur.

    Laver les prunes, les couper en deux et les dénoyauter.

    Préchauffer le four à 180°.

    Étaler la pâte, saupoudrer d'un peu de poudre d'amande restante, déposer les fruits face bombée contre la pâte et saupoudrer généreusement du sucre restant.

    Enfourner pour une trentaine de minutes, baisser éventuellement à 160° à mi-cuisson.

    Tarte aux prunes.jpg

    Remarques :

    • A réserver aux prunes TRES mûres, pour que la tarte ne soit pas trop sèche.
    • Si les fantaisies avoinesques vous ennuient, restez-en à 220 g de farine - mais le flocon d'avoine donne un petit côté croquant...
    Tweet 2 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Brie rose crousti-fondant et sa gelée de Champagne

    Imprimer Catégories : Desserts

    Longtemps, j'ai rêvé de Champagne rosé. "Amatrice" - inconditionnelle - de Champagne tout court, cela m'apparaissait comme le summum de l'exotisme que de goûter du Champagne rosé. Et puis, le temps a passé et j'ai pu satisfaire cette envie. J'avoue avoir été alors à la fois surprise et désorientée : cela ne ressemblait ni à ce que j'avais imaginé ni à ce que je connaissais. Depuis, ce sentiment est resté, un mélange de désir et de perplexité face à l'objet.

    C'est pourquoi lorsque j'ai été contactée par les Champagnes de Vignerons , une marque collective créée en 2001 par le syndicat des Vignerons de la Champagne et regroupant tous les vignerons et coopératives qui commercialisent du Champagne, afin de réaliser une recette pour eux et participer ainsi à un concours qui me permettrait, à moi de partir cuisiner un week end en Champagne, à mes lecteurs de gagner des bouteilles de champagnes de vignerons, je n'ai pas hésité et j'ai choisi d'aller vers une recette qui apprivoiserait un peu ce fameux Champagne rosé...

    Mon choix s'étant porté sur un brut rosé d'assemblage élaboré à partir d'une dominante chardonnay, j'ai voulu utiliser ses arômes de fruit et de bonbon pour l'associer à quelque chose de crémeux, à la fois corsé et onctueux. C'est ainsi que j'en suis venue à songer au Brie de Meaux, un autre produit de l'Est de la France. Champagne, fromage, il manquait encore quelque chose, qui apportât à la fois du croquant - la recette était plutôt "molle" - et de la douceur - la gelée de Champagne s'annonçant forcément un peu acide ; là, s'imposait le biscuit de Reims, le régional de l'étape dont j'adore la délicatesse, au regard comme en bouche. La recette était faite : à la fois fromage et dessert, tendre et festive  !

    Voici donc le :

    BRIE CROUSTI-FONDANT ET SA GELÉE DE CHAMPAGNE

    Pour deux personnes, il faut :

    • Une pointe de Brie
    • 4 biscuits de Reims
    • 20 g de beurre
    • 2 feuilles de gélatine
    • 20 cl de Champagne de Vignerons rosé

    La gelée de Champagne de Vignerons :

    Faire chauffer doucement cinq centilitres de Champagne. 

    Mettre à tremper dans l’eau froide deux feuilles de gélatine.

    Lorsque le Champagne frémit, ajouter les deux feuilles de gélatine bien égouttées et remuer jusqu’à dissolution complète.

    Laisser tiédir et verser dans un siphon. Ajouter le reste de Champagne, fermer et visser une cartouche de gaz.

    Laisser reposer au réfrigérateur pendant six heures au moins.

    Les biscuits de brie :

    Réduire deux biscuits de Reims en poudre.

    Découper deux rectangles de Brie et les écroûter.

    Rouler les portions de brie dans la poudre de biscuit rose.

    Faire chauffer le beurre et poêler à feu doux les morceaux de brie panés en veillant à les retourner délicatement pour que la croûte ne se détache pas.

    Le dressage :

    Placer sur une assiette un biscuit de Reims.

    Déposer délicatement dessus le brie pané. Saupoudrer d’un peu de poudre de biscuit rose.

    Évacuer le gaz du siphon en le tenant debout et récupérer la gelée avec une cuillère pour la déposer à côté des biscuits de brie.

    Le concours maintenant. Ou plutôt les concours.

    Je vous offre la possibilité de gagner une bouteille de Champagne brut en répondant, à travers vos commentaires, à cette question cruciale : "Racontez votre meilleur souvenir-émotion avec le Champagne". Là, j'entends les puristes me dirent : ce n'est pas une question, mais un commandement. Eh oui, mais que voulez-vous, on est prof ou on ne l'est pas ! Donc, le "sujet" du jour, c'est ça, et c'est le souvenir le plus "touchant" , qu'il soit drôle ou émouvant, qui gagnera cette bouteille.

    Mais ce n'est pas tout ! Parce que vous pouvez gagner encore plus  : en vous rendant ICI, sur le site des Champagnes de Vignerons, pour y voter pour moi (enfin, pour ma recette...), ce qui me permettra, d'ici quelques jours, de vous raconter ce week end en Champagne à cuisiner, et ce qui vous permettra, à vous,  de remporter peut-être une caisse de Champagne par tirage au sort. Alors, à la vôtre, vous avez jusqu'au 25 octobre pour participer !

    Article sponsorisé

    Partage propulsé par Wikio

    Tweet 8 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Choux à la crème (pâtissière)

    Imprimer Catégories : Desserts

    Je sais, je sais, mieux vaut être prudente. Quand on annonce "choux à la crème", plusieurs possibiltés s'offrent à vous : vanille, chocolat, chantilly... Alors autant annoncer la couleur tout de suite : il s'agit de choux à la crème "pâtissière". Et pour ce faire, j'ai d'ailleurs réutilisé la recette de celle d'Anne-Sophie PIC (celle des soufflés chauds au Grand-Marnier), légère et parfumée. Alors voici donc les :

    CHOUX A LA CREME (PÂTISSIERE)

    Pour une vingtaine de choux, il faut :

    • 4 oeufs
    • 140 g de farine
    • 90 g de beurre demi-sel
    • un quart de litre d'eau

    Et pour la crème :

    • 500 g de lait
    • 6 jaunes d'oeuf
    • 50 g de sucre
    • 35 g de Maïzena
    • une gousse de vanille

    Préparer les choux en portant l'eau à ébullition avec le beurre. Lorsqu'il est fondu, retirer la casserole du feu et y verser la farine d'un seul coup. Remuer énergiquement.

    Faire dessécher la pâte quelques instants sur feu doux puis retirer du feu et ajouter les oeufs un à un, en mélangeant bien entre chaque oeuf.

    Préchauffer le four à 180°.

    Former des petits choux à l'aide d'une cuillère à café ou d'une poche à douille.

    Enfourner et laisser cuire trente minutes sans ouvrir le four.

    Pendant ce temps, porter le lait et la gousse de vanille grattée à ébullition.

    Mélanger les six jaunes, la Maïzena et 50 g de sucre jusqu'à rendre le mélange mousseux. Verser dessus le lait bouillant et remettre sur le feu pour faire prendre la crème en remuant sans cesse. Attention, la Maïzena va faire "prendre" d'un coup.

    Lorsque la crème pâtissière a atteint sa consistance, enlever la casserole du feu et laisser tiédir.

    Remplir une poche à douille de crème pâtissière et remplir les choux.

     

    Choux à la crème.jpg

    Remarques :

    • Vous pouvez parfumer votre crème pâtissière à différents parfums : chocolat, pistache, orange...
    • Vous pouvez également arroser vos choux d'un filet de caramel mais là, on entre dans le domaine du conflit à la maison : personnellement je déteste, mais mon mari adore !

     

      Tweet 6 commentaires Pin it! Lien permanent