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Mon troisième roman est en ligne !

Imprimer Catégories : Blowing in the wind, Lectures
Marre de la grisaille ?
Vous avez une liseuse, un smartphone, une tablette et 1,99€ ?
Vous avez envie de partir en Provence ?
Alors découvrez mon dernier roman qui fait du bien : Peindre d'abord une cage, un feel good qui vous emmènera découvrir le Lubéron à travers une transhumance revisitée !
 
Cabossée par la vie, Lucile est venue se réfugier en Provence, chez Graziella, sa marraine-fée. Grâce à elle, elle a retrouvé un petit job et gère la communication de la mairie du coin. C'est ainsi qu'elle va se retrouver plongée dans une aventure à l’opposé de ses valeurs jusque là : une transhumance à l’ancienne, en compagnie d’un berger en rupture avec la société et d’une retraitée idéaliste.
Vie rudimentaire, camping, chèvres, mère Nature, tout ce qu’elle fuit ! Mais déterminée, pleine d’humour et ne mâchant pas ses mots, elle va, à travers cette expérience, se réconcilier avec elle-même. Et avec les autres.

— Il s’appelle Plume envolée dans le vent ! Non, mais tu me vois aller passer une semaine avec un type qui s’appelle Plume envolée dans le vent ?
— Tout un programme…
Je la sentais rêveuse, ma Graziella. La chasseuse prête à se remettre en selle.
— Vas-y, toi, si tu le trouves si appétissant !
— Chérie, j’ai soixante-trois ans dans deux mois, je crois que j’ai passé l’âge de robinsonner. Toi en revanche… Ça te changerait de ton vieux beau.
— Hé, c’était ton idée !
C’était vrai. A mon arrivée toute émiettée à St Pierre, Graziella m’avait ouvert ses portes et présentée à toute la noblesse saint-pierraise.
— Je ne t’ai jamais demandé de te taper ton patron ! Je croyais que tu étais vaccinée là-dessus !
Ça, c’était facile. Et petit. Et la situation n’avait rien à voir.
— Et puis, a-t-elle poursuivi tout en remplissant une nouvelle fois nos deux verres, ça te dépaysera. Il faut sortir de ta zone de confort, ma belle. Ta convalescence, c’est fini. Tu as vingt-neuf ans, tu ne vas pas passer tous tes week end à te légumer chez moi devant un feu de cheminée en attendant d’aller balader les chiens, non ? C’est joli sur la photo, mais c’est chiant !
— Ce n’est pas ta vie, là, que tu me décris ?

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